Une semaine après la découverte du corps sans vie de Widöh Théa, la police régionale de N’zérékoré vient de boucler ses enquêtes. Il en résulte une précision de taille : l’idée d’un cas d’assassinat est à écarter.
Les faits remontent au 2 décembre dernier, lorsque le corps sans vie de Widöh Théa, mère de trois enfants et âgée d’une soixantaine d’années a été découvert à son domicile au quartier Gonia, dans la commune urbaine de N’zérékoré. Les premiers commentaires à propos avaient laissé entrevoir la possibilité d’un cas d’assassinat. Aujourd’hui, la police vient d’exclure cette hypothèse.
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Selon le lieutenant-colonel Mamadou Barry, commissaire central adjoint de la police de N’zérékoré, le constat du médecin légiste a révélé qu’il n’y avait aucune trace de violence sur le corps. « C’est une mort naturelle. Contrairement aux rumeurs qui faisaient état d’un cas d’assassinat », précise –t-il.
Pour des besoins d’enquête, dit-il, les deux filles de la victime ont été entendues jeudi 7 décembre. « Dans leurs déclarations, elles nous ont fait savoir que leur maman était maladive, elle souffrait de la tension », a indiqué le commissaire central adjoint Mamadou Barry.
Niouma Lazare Kamano, correspondant régional, guinée forestière. www.ledjely.com
Tel : 622783505