Face au flot de commentaires qui déferlent dan la presse et les réseaux sociaux, les autorités sortent de leur silence. Ainsi, dans un communiqué signé par la Direction nationale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion (DNAPR) explique les raisons qui sous-tendent la révocation de la liberté conditionnelle d’Abdoulaye Bah, responsable de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG). L’ex-président de la Délégation spéciale de la commune urbaine de Kindia se serait livré à des “appels à la désobéissance civile et des atteintes aux institutions de la République” via des déclarations “graves”, selon le communiqué dont nous détenons copie.
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