Je propose que les Emissions de « grande écoute » des Médias publics (ex. RTG) et privés (ex. GG ESPACE, MIRADOR, ON REFAIT LE MONDE …) invitent quelques jeunes pour lancer un premier débat sur des questions mémorielles et historiques guinéennes :
- Ibrahima Sanoh (Economiste et auteur d’un impeccable livre comportant autant de réflexions pertinentes que de propositions concrètes ; livre intitulé « Pour une réconciliation nationale en République de Guinée »)
- Augustin Mansaré (Juriste et auteur d’un récent ouvrage contenant d’impeccables réflexions sur « Les défis d’une justice transitionnelle. Essai sur la réconciliation nationale en Guinée ».
- Ali Camara, juriste et auteur d’un livre rendant compte de sa grande capacité d’analyse ; livre intitulé : « Un Regard sociopolitique »
- Dramane Dédé Diawara (Politologue connu des Guinéens pour être aussi brillant, rigoureux qu’intéressé par des questions historiques)
- Oumar Tortya Barry (Politologue qui, quoique spécialisé sur des questions minières, est connu des Guinéens pour être aussi brillant, rigoureux qu’intéressé par des questions historiques)
Recommandations spécifiques
- A chaque invitation, un sujet important.
- Première émission : « La question de la nécessité de l’organisation d’une « Conférence nationale » sur des questions historiques et mémorielles guinéennes »
- Deuxième émission : « La question de l’opportunité de l’organisation de cette Conférence pendant ou après la transition » ;
- Troisième émission : « La question de l’élaboration d’un Guide méthodologique en tant que préalable à l’organisation (et un critère du succès) de cette conférence » ;
- Quatrième question : « La question des modalités concrètes d’organisation et de déroulement de ces Conférence »
N.B : Ces jeunes invités ne serviront qu’à lancer un premier débat en vue d’attirer l’attention – sachant qu’ils sont tous qualifiés pour réussir ce premier objectif – des décideurs et autres acteurs socio-politiques sur la nécessité de se pencher sur l’organisation de cette Conférence dont on sait qu’elle détermine assurément notre vouloir vivre ensemble en tant que critère de la consolidation (pour ne pas dire formation) progressive de la Nation.
Jean Paul KOTEMBEDOUNO