A la base, la plénière devait être publique. Mais au tout dernier moment, le président du CNT, Dr. Dansa Kourouma, a décidé qu’elle se tiendrait à huis-clos. Ainsi, même l’ordre du jour de la rencontre demeure inconnu.
Mais une source nous apprend que même les conseillers nationaux n’ont pas eu le droit d’y entrer avec leurs téléphones.
De quoi doivent débattre ainsi les membres de l’organe législatif de la Transition pour une justifier une telle discrétion ? D’autant que ce n’est pas habituel. Là est toute la question.
En tout cas, comme on peut le voir ici, le communiqué convoquant la plénière, lui-même avait quelque chose de singulier. En effet, à la différence des précédents communiqués du genre, cette fois, il n’est nulle part question de l’invitation adressée à des personnalités d’autres institutions pour prendre part à la rencontre. Est-ce donc une question interne à l’institution ? Pour le moment, aucun indice.