Cette fois, ce ne sont pas des cas suspects. La Guinée vient de notifier son premier cas de la variole de singe (MPOX). Un bulletin du Centre recherche en virologie (CRV) que nous avons pu parcourir le confirme. La victime, Mawa Kourouma, 7 ans, est élève à Macenta, précisément dans la sous-préfecture de Koyama.
C’est le 30 août que le prélèvement a été fait et ce 2 septembre le test a été effectué. Et il s’est avéré positif.
« C’est quand même curieux que ce soit jusqu’en Guinée Forestière est confirmée. D’autant que ces derniers temps, les cas suspects qu’on évoquait se rapportaient à Conakry et environ », fait remarquer un observateur
Nous avons, en vain, essayé de faire confirmer cela par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSS).
Déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis son apparition, il y a quelques semaines en République démocratique du Congo (RDC), la variole simienne (mpox) est une maladie contagieuse causée par un virus d’origine animale. D’abord connue sous le nom de « Monkeypox » en anglais, la maladie est caractérisée par des éruption cutanées sévères.
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