En provenance de la Côte d’Ivoire où ils s’étaient rendus pour le pèlerinage, les fidèles chrétiens catholiques de Guinée sont arrivés hier dans la préfecture de Kissidougou. Faisant halte précisément dans le quartier Korodou, dans la commune urbaine, avant de rejoindre leurs localités respectives, le coordinateur du Pèlerinage marial international session 2023, en Côte d’Ivoire, s’est prêté aux questions du correspondant régional du Djely.
Ledjely : Présentez-vous à nos lecteurs !
Laurent Aimable LENO : fidèle de la paroisse Saint Michel Archange de Coléah, Diocèse de Conakry, et en même temps coordinateur du Pèlerinage marial international, organisé en Côte d’Ivoire pour la session 2023.
Quel est l’effectif de pèlerins que vous avez convoyés cette année ?
Nous avons effectué un pèlerinage en Côte d’Ivoire avec un effectif de 56 personnes, toutes venues des quatre diocèses de la Guinée. Notre pèlerinage, c’était du 26 août au 15 septembre 2023. Nous avons eu à visiter plusieurs centiares Marial de la Côte d’Ivoire.
Justement, quels sont les centiares que vous avez visités ?
Nous avons commencé le pèlerinage au centiare à Man où nous avons visité. Puis, nous sommes venus à Issia, qui est un grand centiare Marial dédié à Notre Dame de la Délivrance d’Issia. Là, nous avons passé un très bon moment de prière. Ensuite, nous nous sommes rendus au centiare de Ravia, dédié à Notre Dame de la Divine Miséricorde où nous avons passé aussi quelques jours. Quand nous avons quitté ce centiare, on s’est rendus à la basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro. A cet endroit également, nous avons effectué des prières. Après cette étape, on s’est dirigé vers le centiare Notre Dame d’Afrique Mère de Toute Grâce d’Abidjan. Des prières et des conférences ont marqué ce pèlerinage dans la capitale Ivoirienne.
Qu’est-ce qu’il y avait au menu de ce pèlerinage ?
Laurent Aimable LENO : Lors de ce pèlerinage, il a été question pour les pèlerins chrétiens catholiques guinéens, d’implorer la grâce divine pour la paix en Guinée et dans le reste du monde.
Propos recueillis par Niouma Lazare Kamano, ledjely.com
