Les rangs de ceux qui n’entendent pas s’associer au cadre de concertation inclusif dont la session inaugurale a lieu aujourd’hui, commencent à grossir. Après le G58 et le RPG qui ont déjà notifié leur boycott aussi bien de la rencontre d’aujourd’hui que du processus dans son ensemble, le Front national pour la défense de la constitution (FNDC), lui aussi, pose ses conditions. Certes, il salue l’esprit qui a débouché sur la mise en place du Cadre de concertation. Mais le mouvement sollicite néanmoins, entre autres, que le processus soit parrainé par un facilitateur de la CEDEO, que le dialogue soit circonscrit à des sujets précis en rapport avec le processus de retour à l’ordre constitutionnel, etc.



