Son nom est Martin Zenab Fofana. Jusqu’à ce jeudi 27 février, elle assumait les responsabilités de présidente de la Commission électorale d’ambassade indépendante (CEAMI-démembrement de la CENI) au Royaume Uni et en Irlande du nord. A son tour, il jette l’éponge. Deux raisons à cela, selon ce qu’on peut lire dans sa lettre de démission. D’abord, elle n’a pas supporté les soupçons de complicité avec dont on l’accuse avec les auteurs de l’attaque que l’ambassade a essuyée dernièrement de la part de ceux qui sont opposés à la tenue du double scrutin du 1er mars prochain. Ensuite, et surtout, elle dit avoir prêté serment pour les législatives et non pour le référendum. Un référendum dont elle dit qu’il “va à l’encontre de mes principes et de mes convictions personnelles“.
