En raison du rôle, selon elles, croissant que l’armée a joué dans le déroulement du double scrutin de dimanche dernier, la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), l’Organisation guinéenne de défense des droits humains (OGDH) et l’OG Mêmes droits pour tous (MDT) disent craindre le retour à la militarisation de la vie politique guinéenne. Cette inquiétude, elles l’ont exprimé via un rapport qu’elles ont consigné et dont nous proposons l’intégralité ci-dessous. Rapport dans lequel elles reviennent sur bien d’autres anomalies qui auront émaillé la journée électorale du dimanche 22 mars 2020.
[irp]